LES REUNIONS DU CONSEIL MUNICIPAL
06 juillet, 10 août, 25 octobre, 14 et 28 décembre
2005,
24 janvier 2006.
REALISATIONS 2005
A la base de loisirs :
Achat de deux mobil homes pour le camping, poursuite des aménagements
au camping, achat et installation de nouveaux jeux.
Aux pavillons
Terrassement des abords, rénovation des locaux (intérieur et extérieur),
remplacement d’une partie du mobilier, des convecteurs
N.B : les recettes générées ont déjà dépassé les dépenses.
Site de l’ancienne poste
Démolition d’un mur devenu dangereux
Réunion des deux places pour un square plus aéré
Construction d’un abri buvette utilisable par toutes les associations
Aménagement d’une salle de réunion à
l’ancienne poste, avec de grands espaces rangement, au dessus du syndicat
d’initiative rénové et agrandi.
LE BOULODROME N’EST PAS UN PARKING !
Remplacement et modernisation du parc informatique de la mairie, connexion à Internet grâce à l’ADSL.
Remplacement de 2 camions bennes, pour poursuivre le renouvellement du parc
A l’école,
Création d’accès sécurisés accessibles aux
handicapé vers le CLAE et les deux classes du haut, installation de l’aire
de jeux pour les petits (gazon , gravier et sable n’avaient pas donné
satisfaction, un nouveau matériau assure confort et sécurité).
Transformation des anciens WC insalubres en espaces de rangement.
Dans les cimetières
Les plans avaient été refaits en 2003, à l’automne,
toutes les allées ont été garnies de gravier, pour une
meilleur tenue et pour éviter l’érosion.
A ARECH : réfection de deux murets et du porche d’entrée
du cimetière
Il reste à faire en 2006 l’entrée de l’église
et une vérification de la toiture
A RIEUPEYROUX, restauration de deux murets, restauration du calvaire,
réfection des toitures de la sacristie et de l’entrée.
Il reste pour 2006 le troisième muret et la vérification de la
toiture de l’église
A BEZIEY, restauration de la croix de cimetière,
mise en route d’un programme de réhabilitation, un dossier D.G.E.
est déposé.
Au cimetière SAINT JOSEPH, les allées ont été
reprofilées, le ruissellement des eaux a été canalisé,
de nouveaux emplacements ont été aménagés.
Création d’un columbarium et d’un jardin du souvenir, et
d’une stèle au souvenir des pompiers disparus.
Voirie
Le seul goudronnage a représenté en 2005 un poste
de 90.000 €. Après la réfection de la V.C. de Saint Orens,
il reste à terminer la première tranche du lotissement et deux
petits tronçons sur Arech.
Et le reste est de l’entretien courant avec du POINT À TEMPS
Pourquoi appelle-t-on «
Point à Temps » ces petites « reprises » de goudron
et gravillons, qui remplacent parfois pour longtemps une vraie réfection
de la voie, sans doute trop coûteuse ?
« Un point à temps vaut mieux que mille », disaient nos grand
mères en reprisant chaussettes et draps, jusqu’à ce qu’à
force le tissu ne soit que reprise…
C’est ainsi que l’expression fut utilisée par les cantonniers,
d’abord dans les pentes pour éviter que le ruissellement de l’eau
n’entraîne la totalité de la chaussée, on jetait quelques
pelles de gravillons recouvertes d’un voile de goudron… puis on
utilisa l’expression pour désigner cette technique.
Et qu’il faut bien constater que, parfois, il est tout de même nécessaire
d’investir dans du neuf !
L’ensemble des TRAVAUX DU BOULEVARD
DE LA LIBERATION a représenté un gros chantier de près
de 300.000 € dont moins de 40% (117.000 €) à notre charge grâce
aux diverses subventions.
Ils concernent d’abord l’aménagement du carrefour pour plus
de sécurité, (ralentisseurs) nous en avons profité pour
enfouir les lignes électriques, préparer deux nouvelles tranches
d’éclairage public (du boulevard de la libération à
la place de Verdun), remettre à neuf une partie du réseau d’eau
(eau, pluvial, assainissement), remplacer les bordures.
Réserve foncière
Les 125 000 € prévus au budget ont été réalisés,
avec l’achat de 10 ha de terrain constructible à Peyronduguet,
Casteries et Caussoge, qui permettent de prévoir constructions et lotissement
futurs.
Achat de CHAPITEAUX pour les fêtes
ECLAIRAGE pour les quilles à la salle polyvalente
Un petit RADAR a été installé 15 jours début
novembre, à la demande de la municipalité. Il se contentait d’indiquer
aux automobilistes la vitesse à laquelle ils roulaient.
Si quelques-uns ralentissaient nettement (pour le voir ?), seuls 27 % dépassaient
les 50 km/h réglementaires… c’est encore trop, surtout pour
les quelques 1 % qui dépassaient 80 km/h.
Et l’on ne tiendra pas compte du « 188 km/h » affiché
en permanence le dernier jour, en raison d’une panne électrique.
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