Samedi 8 septembre, mariage Virginie Beyries Ludovic Busipelli Une édition spéciale des "Informations Municipales" - non diffusée, car pirate - relate la partie publique de l'évènement: mairie, église... de 10 h 15 à 12 h 40 environ Il y a même quelques photos.... 10h20 Ludovic, bien qu'entouré de nombreux amis, ne peut cacher son angoisse : "viendra-t-elle?" 10h30 Récompense des paparazzis: enfin, la mariée!! 10h40 Qui est "le père de la mariée"? 10h50 C'est sérieux! dire « OUI » à Papa 11h La photo manquée: l'apparition à la fenêtre, sous les applaudissements de quelques badauds on ne peut pas être partout! 11h10 "L'ai-je bien descendu?" 11h30 Papa? 11h40 Mariée attendue dans l'église… 12h10 Union du basket et du rugby: Quel ballon?

dans la presse:

Virginie et Ludovic: un mariage auzanais

C'était le 6° mariage de l'été, et pourtant, Monsieur le Maire craignait de se tromper... Difficile d'oublier, fut-ce au moment des mots officiels, que la mariée est sa propre fille ! Mais l'émotion ne l'a pas emporté, et c'est d'une voix ferme qu'il posa la question rituelle "Mademoiselle Virginie Beyries, consentez-vous à prendre pour époux Monsieur Ludovic Busipelli?". Si l'on ajoute que les jeunes mariés sont particulièrement actifs dans la commune - basket et rugby, Comité des fêtes... - et qu'ils s'installent au village, dans la maison héritée des grands parents de Virginie, l'on aura compris que la fête fut généreuse, avec un soleil radieux et beaucoup de bonheur dans les yeux de tous. Nous adressons nos meilleurs voeux à Virginie et Ludovic, ainsi que nos félicitations à leurs parents.

Le Maire marie sa fille

Il y avait foule devant la mairie samedi dernier, pour accompagner Virginie Beyries et Ludovic Busipelli, ils étaient aussi nombreux dans la salle des mariages pour entendre officier Monsieur le Maire: Philippe Beyries mariait sa fille unique, et l'émotion ne l'a pas trahi au moment de dire son bonheur de père et de maire, de savoir que ces jeunes qui participent activement à la vie du village - basket pour l'une, rugby pour l'autre, et comité des fêtes pour tous les deux - avaient choisi de s'y s'établir et de rester ainsi "au pays". Nous leur souhaitons beaucoup de bonheur et félicitons les heureux parents.