Une vingtaine seulement de candidats inscrits
au concours communal, alors que, par
bonheur, beaucoup d’autres participent très activement
au fleurissement du village ! On aimerait parfois les récompenser
tous, certains répondent alors « j’aime les fleurs,
je les soigne pour mon plaisir ».
La commission qui est passée début juin a sélectionné
–difficilement- trois candidats pour le concours départemental
: Jean et Gisèle Imberdis, Arlaitte Laporte et Marylise Carpe,
Jean Rouchaleau et Claudie Laborie.
Ils n’auront les résultats qu’en novembre, mais
l’important, c’est notre plaisir à tous de vivre
entourés de couleurs et d’odeurs, du printemps à
l’automne. Merci à tous ceux qui nous les offrent.
[NDLR: nous avons oublié de préciser que
c'est Nicole Jousseins qui est responsable du fleurissement... espérant
qu'elle nous pardonnera...]
Environnement et
Civisme
Depuis quelques années, la municipalité a fait de gros
efforts pour normaliser la gestion des déchets, fermer les décharges
sauvages, participer au programme du SICTOM de tri des déchets,
et améliorer l’environnement dans lequel nous vivons
Et, malgré tous les appels au civisme, malgré les «
plus jamais ça », ça continue…
La benne à métaux installée aux ateliers municipaux
est toujours pleine de n’importe quoi, des personnes indélicates
viennent s’y servir de tout ce qui permettrait de rentabiliser
ce service, les abords des containers demandent toujours autant de nettoyage
: des sacs laissés par terre et éventrés par les
animaux alors que les containers sont vides, des cartons de bouteilles
à escalader pour accéder au Récup’verre –
moitié vide lui aussi.
L’on a envie de dire que nos concitoyens manquent de civisme,
mais des enquêtes ont permis de constater que certaines de ces
infractions sont le fait de personnes qui passent « par là
» et en profitent. C’est un vrai problème dont personne
n’a encore la solution.
En matière de déchets, notre civisme, c’est contribuer
à préserver l’hygiène et l’esthétique
de la commune, c’est ne pas donner de la commune l’image
d’un gigantesque dépotoir, et c’est penser à
épargner autant que possible le travail des employés municipaux
qui ont beaucoup mieux à faire ailleurs.
Aucune société démocratique ne peut survivre sans
la responsabilisation de chacun.