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Michel Delmas, adjoint
au Maire, a deux responsabilités principales : Association et vie
locale, urbanisme.
En ce qui concerne les associations, il ne s’agit pas d’un
contrôle, mais d’aider tous ceux qui participent à
l’animation et à la vie locale, en fonction de leurs besoins.
Des subventions (pour un total de 76.229 €) sont accordées
lorsque nécessaire, pour un projet exceptionnel, pour soutenir
une activité sportive ou éducative qui ne peut faire face
seule à son financement. Elles doivent toujours être justifiées
par l’établissement d’un budget prévisionnel.
Il y a aussi la mise à disposition de locaux ou de terrains ainsi
que les chapiteaux nouvellement acquis, qui seront réservés
exclusivement aux auzanais. De fait, la plupart des conseillers municipaux participent à la vie associative, et c’est souvent par eux que transitent les demandes, sans respecter obligatoirement la voie hiérarchique. Le travail de la commission d’urbanisme est au centre du projet de développement du village. Dans ce domaine, Michel Delmas travaille en étroite collaboration avec le Maire sur tous les dossiers. Après le premier rassemblement à Castelnau d’Auzan en 1993, une association a été créée en 2000 pour regrouper les communes participantes, et mieux partager les frais d’organisation, grâce à une cotisation fixée proportionnellement au nombre d’habitants. Cette année, la rencontre revient à Castelnau d’Aude,
petite commune de près de 400 habitants à 120 km de Toulouse.
Le programme est désormais traditionnel, avec une découverte
des principales activités du village, un bon repas et des animations
diverses tout l’après-midi, qui permettent de faire connaissance
avec quelques uns des 400 à 500 participants. ***************************** C’est une manière ancienne et efficace pour faire connaissance
entre les « anciens » qui sont nés là et les
nouveaux qui ont choisi d’y vivre et désirent s’intégrer
à la vie locale. Le principe est simple : n’importe qui
peut décider de la date, du lieu, s’arranger à prévenir
les personnes concernées et prévoir tables et chaises
(et autorisation municipale si c’est dans la rue !). Le jour dit,
chacun apporte son panier avec « quelque chose », un pique
nique complet ou un élément de repas, son couvert, on
pose tout sur la table… et chacun va se servir et profite de ce
moment convivial pour se présenter et échanger avec celui
qu’il ne connaissait pas la veille et qui vit quelquefois tout
à côté. A Peyronduguet, cela se fait naturellement
dans la rue centrale du lotissement, le quartier de la Route de Barbotan
se retrouve chez l’un ou l’autre qui a de la place –
cette année au Foyer pour cause de pluie ! - C’est efficace
parce qu’il n’y a pas trop de monde et qu’on arrive
à identifier chacun. |
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